17.10.09

La mauvaise vie



















Rue Ehrmann, ce jour-là une poubelle faisait la cour à une fenêtre.
Celle-ci restait sourde à toute conversation.
La poubelle s'en trouva fort dépourvue.
C'est par hasard que je surpris ce moment de grande solitude.

2 commentaires:

Olga Theuriet a dit…

Un témoignage touchant, vraiment. Encore une fenêtre qui ne sait pas ce qu'elle perd.

MartineF a dit…

elle battait le pavé la poubelle?